Thursday, January 27, 2005

Abdelbloggy: January 2005

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Sunday, January 23, 2005

L'illusion

L'illusion, tant en politique que dans la vie en général, est vue négativement à notre époque. On l'oppose purement et simplement à la réalité, on l'associe au mensonge, sinon à l'erreur. Ce n'est pas totalement faux. L'écrivain Remy de Gourmont, qui écrit à la fin du XIXe siècle, en propose pourtant une évaluation plus nuancée et l'associe au dépassement de soi-même :
"Il faut reconnaître que, si cette illusion d'amour-propre a de grands inconvénients, si elle fausse notre jugement critique, non seulement sur nous-mêmes, mais sur les autres, si elle nous entraîne à des estimations fausses, elle a, en contre-partie, de grands avantages. « L'illusion qui accompagne l'homme au cours de la vie, dit M. Cornetz, est une condition nécessaire d'existence, un produit précieux de l'instinct vital. » L'homme qui se surestime est aussi celui qui est capable de se surmonter. Il est nécessaire, au grand jeu de la vie, d'avoir confiance en soi-même. Si l'on ne s'estimait qu'à sa juste valeur, on ne s'estimerait pas assez. Si l'on ne s'accordait pas une force supérieure à sa force réelle, on n'oserait jamais entreprendre l'impossible : or il n'y a peut-être que l'impossible qui soit digne d'être entrepris. Au pur point de vue pratique, si le but à atteindre n'était pas embelli par l'illusion, se mettrait-on jamais en marche? Il est bon qu'après un échec l'homme puisse se dire, en toute naïveté : « J'aurais pu agir autrement. » Ce n'est pas vrai, sans doute; mais cela peut créer dans l'avenir une grande vérité. L'erreur est une grande génératrice de vérités. La vérité d'aujourd'hui a sa racine dans l'erreur d'hier. Les illusions ont souvent créé des forces réelles. « Vous pouviez faire mieux, » dit l'éducateur à son élève. Il met ainsi dans l'esprit de l'enfant une croyance, une idée qui engendrera immédiatement un espoir et, dans le futur, une force."

(Remy de Gourmont, « L'illusion du joueur », dans l'ouvrage du même auteur : Promenades philosophiques. [Deuxième série], Paris, Mercure de France, plusieurs éditions jusqu'à nos jours. Texte du domaine public)

La réaction de la mémoire

Elle fait appel à ses schémas préenregistréstout ce qui émane de dieu est bon, ou de dire que l'objectif de dieu et toujours de vouloir faire régner le bien, même si nous le percevons mal.
la perception, la mémoire, et tous les mécanismes de la pensée, ne sont pas nos ennemis, d'abord ils font partie de nous, ensuite, s'il n'y avait pas cette perception, cette mémoire, cette pensée et leur conséquences, les émotions, la peur, nous ne serions pas là, ce sont ces différents mécanismes de notre cerveau, qui nous ont permis de survivre.
car nos ancêtres auraient été éliminés dès le début par les lois de la séléction naturelle...les lois du plus fort qui régnaient encore dans leur temps.
alors il est vain de parler de pièges de la pensée, de la perception ou de la mémoire, mais on peut dire, jeu de la perception, de la mémoire...
le jeu par sa nature est ludique, son objectif prinicipal est d'apprendre quelque chose, et je ne parle pas de la mauvaise utilisation du jeu.
c'est un jeu qui a fait ses preuves pendant longtemps, qui a permis à l'être humain de survivre, et il est donc intéressant de se poser la question si le temps de la survie est révolu, que nous sommes aujourd'hui dans le temps de la vie, car, et je n'ai nul doute sur cela, rien sur terre ne peut désormais constituer une menace pour l'être humain, sauf lui-même.
nous sommes entrain de nous détruire par nos propres mains, les uns par leur avidité de pouvoir, les autres par leur avidité de servitude, le fait est le même, seulement il change de forme.

Tuesday, January 18, 2005

sites du jour

http://www.spirisophie.com/ : spiritualité, philosophie, vous y trouverez de tou...t.

http://viggodreams.site.voila.fr/frames.htm : un site très intéressant de l'acteur Viggo Mortensen.

Vacances de Fêtes

Aujourd'hui, nous interrompons les études pendant 5 jours, quel soulagement, nous allons pouvoir faire autre chose pendant 5 jours, en fait nous allons fêter, une fête sacrée, pour moi et mes semblables, ancienne de plusieurs milliers d'années.

Monday, January 17, 2005

webmasters et visiteurs

http://users.skynet.be/baptss/webmasters_fichiers/webmasters.htm
sélectionnez le lien, et copiez le dans la barre d'adresse, svp.

sa réponse...

Merci pour ta réponse. Je vais te donner quelques explications sur ma
question. Je ressens exactement ce que tu décris. Le problème c'est que je
n'atteins pas encore assez souvent cet état, mais ça m'arrive quand même
régulièrement. Alors quand je n'y suis pas j'essaie de considérer mes
pseudos désirs et mes réactions comme un jeu auquel je me prête
momentanément pour ne pas sombrer dans l'inconscience. J'ai un mental assez
dur à mettre en sourdine mais j'y travaille. Cependant lorsque j'écris à ce
sujet, j'utilise les mêmes mots que toi. C'est pour celà que j'ai voulu te
poser cette question car c'est souvent celle que l'on me pose quand je parle
de la sorte. Or j'ai parfois du mal à y répondre et ta réponse me ravit car
à la fois me confirme que tu n'as pas écrit celà en l'air (des fois ils
arrive que des personnes écrivent des vérités profondes sans le faire
exprès) et en plus me permet d'avoir plus de sérénité à ce sujet de par tes
explications.
Ce que je trouve dur au stade ou j'en suis, c'est le retour à l'illusion
mentale. En un instant, ton mental est capable d'effacer l'importance de
cette sensation pour te renvoyer dans des quêtes d'intérêts relatifs et
virtuels à cause d'une distraction extérieure, (réaction) tout en t'envoyant
des pensées aléatoires t'éloignant un peu plus de présent à chaque fois
qu'elles captent ton attention. La dualité dans toute sa splendeur. Mais
encore une fois j'admire l'apparente sérénité qui te permet de me donner une
telle réponse. La présence est la seule manière de voir la réalité de façon
non transformée, par delà les concepts, tout le reste n'a aucune valeur
absolue. C'est une vraie fusion avec la présence de tout ce qui est. Mais je
serais curieux de savoir quand et comment as tu ressenti/compris ce principe
si ce n'est pas indiscret...
Encore merci et à bientôt j'éspère.
Thibault

Thibault, encore lui...là c'est mon message!

je voudrais te remercier d'abord pour l'intérêt que tu as témoigné au
sujet, de la présence totale.
si je comprends bien, à travers ton message, tu n'as pas fait l'expérience
de cette présence dont il est question.
la présence consiste, à justement lire le message, en restant silencieux,
ne pas intérepreter, ou juger, que c'est une fuite, peut être que >quelqu'un d'autre en lisant ce message, aurait eu une autre réaction, et je
souligne ce mot "réaction", parce que il est un de nos problèmes humains.
il nous est difficile de lire, de faire, ou d'écouter quelqu'un, sans
réagir, tout en sachant qu'il s'agit de notre réaction, dans toute sa
subjectivité, et notre expérience personnelle.
la présence à l'événement, à nos émotions, à nos sentiments, implique la
neutralisation du pouvoir de la réaction,
je me ballade dans la rue, j'aperçois une personne, en terme de réaction,
je commence à dévisager, cette personne, à juger sa façon de s'habiller, sa
façon de marcher, ses traits de visage, et si c'est une fille, je la
déshabille du regard et je la désire, n'est pas, tout ceci, n'est que pure
réaction à un stimulant extérieur.
en terme de présence, je transcende les frontières entre moi et cette
personne, les frontières du corps, de l'habit, de la religion, de la
démarche, je ne suis pas conditionné par ces éléments, je ne suis pas
attaché, à ces choses, je témoigne ma présence, je vois le fait, et non ses
intérpretations, et le fait c'est la vérité de cette personne, je lui
souris et je passe mon chemin.
la présence n'est pas une fuite, au contraire, elle est la vie, elle se
traduit par une richesse de vie incroyable, tu n'as jamais écouter un
arbre, quand dieu nous permet d'écouter un arbre, on sent qu'il vit, tu
n'as jamais observé une fourmillière, quelle richesse de vie ?
je pourrais dire aussi que la présence est l'immobilisme, qui n'est pas
passivité, on s'immobilise dans l'instant, ainsi, on accompagne chaque
instant, on est entier, on est pas séparé ni par les remords d'un passé
révolu, ni par les espérences d'un futur qui n'est pas encore là.
être présent au fait, et non à ses développements, me permet d'apprendre de
tous ce qui me tombe sous la main, parce que je ne réagit pas à telle ou
telle chose, on ne juge pas d'un livre par exemple, ni de son auteur, ni de
sa formation, ou de ses orientations religieuses ou politiques, parce qu'on
accède à un niveau de connaissance qui nous permet de voir la vérité, la
fait.

je m'arrête là, sinon je ne vais pas m'arrêter, et enchanté de faire ta
connaissance.

ma réponse...

merci pour ta réponse,
en fait je voulais que tu m'en dise davantage de ton avis sur le sujet.
concernant ma façon de faire, ou comment j'ai appris, moi-même je ne sais
pas, peut être par intuition, d'ailleurs je n'ai pas compris ce que tu
voulais dire par dualité et illusion, j'ai du faire des recherches pour le
savoir.
ce n'est qu'en multipliant les expériences que j'arriverai à savoir
comment ça se fait,
je ne juge pas, ou plus précisément, je laisse cette pensée (qu'elle soit
opinion sur une personne, une émotion, ou autre), je sens quand elle me
vient et je la laisse passer, je ne l'alimente pas, au début, c'est
difficile, parce qu'on a passé des années à être attachés à nos pensées, à
les alimenter quand elles sont là, ou à les chasser, fuir d'elles, quand
les laisse passer les premières fois, je ne sais pas comment décrire ça,
des peurs des pensées, longtemps refoulées reviennent à la surface, j'en ai
fais l'expérience, je ne sais plus de quoi j'ai peur, de quelque chose en
particulier ou de la peur elle-même? tu vois ce que je veux dire...
bon je finis, pour l'instant, mais avant je suis curieux, de te connaître,
qu'est ce que tu fais à part répondre à mes messages,
moi je suis étudiant dans une école de gestion et de commerce, en 3éme
année, option gestion
dans une ville loin de casablanca (principale ville écoque) de 64 km.
bonne journée

Suite, Thibault...

Plus l'identification au mental est forte, plus la vie n'est perçue que par
sa carte. Elle ne représente plus vraiment d'intérêt, et on pourra se battre
toute notre vie pour ces concepts qui ne sont pas réels.
Quand on touche le moment présent, on se rend compte que le mental n'est
plus autant envahissant (même s'il continue de fonctionner en arrière plan).
La conscience au lieu d'être connectée qu'au mental, est connectée à la
réalité. On se rend compte que le fait dans le présent n'est jamais porteur
de souffrance car il n'a pas de signification propre. Le fait dans le
présent n'est pas un concept. Et pourtant il est tout ce qu'il y a de plus
réel. On peut alors observer les choses par delà les concepts et perçevoir
une sensation d'unification avec tout ce qui est.
Ce qui peut être terrifiant est la découverte de la complexité du mental ou
la peur de se retrouver contre un adversaire intérieur. C'est pour celà
qu'il ne faut pas fuir les pensées ou les jugements mais les laisser passer.
Le mental n'est qu'un bio-ordinateur. Tous ses concepts ne sont pas plus
réels que le listing du programme d'un jeu vidéo. Il n'a pas de volonté. Il
s'est juste développé au fil du temps. Comme tu l'as dit dans un de tes
avis, il m'apparaît comme crucial de changer les méthodes d'éducation si on
veut faire avancer les choses. Introduire la notion de mental pourrait
changer beaucoup de choses car c'est lui qui conduit les parents a se sentir
aggressé par la bétise de leur enfant, et qui conduit l'enfant à faire une
bétise. Celà n'empéchera pas les bétises, mais au moins l'éducation
ressemblera moins à un dressage récompense/punition. Quand on fait preuve de
présence face à une personne il n'y a pas de possibilité de lui en vouloir
sans retourner dans ses concepts
En fait, le mental n'a qu'un rôle d'évolution. Je ne sais pas si tu sais
comment ça marche mais avant il y avait le code génétique qui mutait au
hasard, quand la mutation était bonne l'individu avait au long terme une
plus grande descendance de par une meilleure adaptation, et quand elle était
mauvaise la mutation s'éteignait par désavantage d'adaptation.
L'inconvénient est que si jamais on apprend qu'il ne faut pas manger tel
champignon vénéneux, celà ne sera pas marqué dans notre code génétique et
donc non transmis à notre déscendance car les variation adaptatives acquises
au cours de la vie d'un individu ne se transmettent pas.
Le mental est le succèsseur du code génétique. Grâce au mental, les
variation acquises au cours de la vie se transmettent via l'éducation. Tous
les concepts, qu'ils soient normaux ou abbérants se transmettent et
s'inscrivent dans les connections cérébrales. Le concept d'argent est admis
et jamais remis en cause, les concepts de bien et de mal sont souvent
directement transmis, le concept de normalité veut dire que plus on
correspond à la norme, et mieux on est en sécurité, ou même le concept de
comparaison qui va changer notre degré de satisfaction par rapport aux
autres.
Je ressens une éspèce d'angoisse quand je veux lacher prise et quitter mon
mental. Je pense que ce dernier essaie de récupérer le contrôle comme il
peut. Mais à la longue, ce que je me demande, c'est est-ce qu'il vaut mieux
vivre détaché de son mental, en perpétuelle présence mais détaché des
autres, ou si c'est justement notre incarnation qui veut que nous soyons
sujets aux pulsions physiques et terrestres, et que le "but" soit de les
prendre comme un jeu et trouver le juste équillibre entre présence et
divertissement...
Je m'arrête là, en fait j'ai déjà écrit des centaines de pages sur ce sujet
et ce n'est pas facile de faire la transcription d'une sensation car la
dualité dont je parle (mental/"esprit") entre en jeu à partir du moment ou
il y a expression par des mots. Tu dois l'avoir ressenti.
En tous cas si je peux te conseiller des lectures sur le sujet il y a "le
pouvoir du moment présent" d'Eckhart Tolle, avec son autre livre "quiétude".
IL y a aussi "manuel pour une conscience supérieure" par Ken Keyes Jr. Il y
a en a d'autres mais ces trois là sont très intéressants, en particulier le
premier.
Pour ma part je suis étudiant en médecine à Marseille, en deuxième année.
J'ai beaucoup voyagé à cause d'un père militaire que ce soit en France ou en
Afrique, mais ces derniers temps je susi resté à Marseille en raison de mes
études. Voilà. Si tu veux plus de précisions sur un point n'hésites pas à me
poser des questions, tout ce que je dis est une façon de traduire ce que je
ressent, mais c'est loin d'être la seule façon donc il est dur de parler
d'avis. Sinon j'attends tes commentaires avec impatience.

Thibault, site Alliance Spirite...

Ce qui nous retient le plus dans le mental rationel dans notre vie sont la
peur et le désir. Bien sûr ces deux émotions trouvent leurs bases dans des
phénomènes mentaux complexes déterminés par nos intérêts. Le développement
de notre cerveau par rapport aux autres animaux à aussi complexifié notre
approche de la peur et du désir. Notre cerveau est capable de nous faire
peur avec n'importe quoi, et inversement, peut nous donner envie de
n'importe quoi si celà garantit ses intérêts. Cette partie de nous est
efficace pour la survie. Elle nous permet de savoir desuite ce qu'il faut
faire pour survivre, et d'y trouver une motivation automatique. Le problème,
c'est que maintenant que la séléction naturelle n'est plus autant
d'actualité, cette machine à survie n'ayant pas cessé de fonctionner
applique sa logique aux relations. Le résultat, c'est que notre mental
fonctionne toujours comme s'il s'agissait de survie. Il base donc nos
intérêts sur la Sécurité, les Sensations et le Pouvoir car tous ces buts
réprésentent une augmentation de la survie. Or, le mental fonctionne à
partir de signaux électro chimiques qui s'inscrivent dans le temps. Il n'est
donc jamais dans le présent. Tout ce qu'il peut faire pour être le plus
proche du présent, c'est utiliser la mémoire et fabriquer des concepts. Les
concepts sont des résumés de la réalité, un peu comme une carte. Et comme
une carte, ils sont basés sur les intérêts du moment: la carte montre le nom
des rues, les hopitaux, les stades etc... mais n'aura jamais aucune affinité
avec la réalité car c'est ce qui nous intéresse dans un contexte
d'orientation. De même, le mental nous fera voir l'argent comme le bien
absolu (donc objet de désir), ne nous fera pas voir l'arbre car sans
intérêt, ou nous fera percevoir l'échec ou le regard des autres comme
quelquechose à craindre par dessus tout (d'ou la peur) etc...

Sunday, January 16, 2005

elijah rocks!


En voilà une autre, du même, grandiose, non! Posted by Hello

actor elijah wood


Frodo, porteur de l'anneau..., en fait c'est celle de l'acteur, Elijah Wood. Posted by Hello

est ce bien ou mal ?

est ce bien ou mal ?, nos actions, pkoi on dis, ceci est bien, ou ceci est mal.je crois qu'il ,n'existe ni mal absolu, ni bien absolu, au moins de notre part, c'est à dire que nous autres humains sommes incapables, de faire du bien en absolu, ni de faire du mal en absolu, mais comme disait le vieux Einstein, "llah doukrou bikhir", tout est relatif...ce qui compte, c'est le but de notre action, de mon action, à quoi servivrait une action, un geste, que j'ai fait.il faut alors analyser son impact à long et à court terme, tout en sachant qu'on peut priviligier l'un aou l'autre, selon nos choix, et sachant aussi que tout choix n'est pas définitif, ce qui veut dire que nous sommes d'une façon ou d'une autre subjectifs, il faut nous rendre à l'évidence, là aussi, on ne peut être absolument objectif ou absolument subjectif, mais tout est relatif, entre l'objectivité subjective et la subjectivité objective, il ya tout un monde, dans une situation précise, je me dis être objectif ou subjectif, mais qu'est ce qui me dis que l'attitude objective, était de choisir d'être subjectif, et l'inverse.voilà, c'est l'attitude qui est plus importante, que l'action indépendante dans le temps et dans l'espace, partant de cela, notre attitude à long terme doit être bonne, et nos actions peuvent être ou non bonnes, car l'attitude à long terme, est l'objectif, c'est la finalité, c'est ce que je veux être, et curieusement, quand cherche, comme objectif une façon d'être, on est nécessairement bon, du moment que nous avons en tête cette lanterne, qui éclaire notre chemin.

Thursday, January 13, 2005

bizzaruuus!

Aujourd'hui, je me suis réveillé, bizzare, très bizzare, je ne sais pas pourquoi, une sensation de nouveauté, qui m'a envahit, et qui m'envahit chaque matin, inexpliquable, incroyable, extraordinaire, comme le dit Santananana, Corazon espinado, mais de quoi espinado de vivre peut-être, je me sens remplit de vie, toute la vie en moi,...

Tuesday, January 11, 2005

Mécontentement (deuxième partie)

Dès qu'on améliore notre situation au travail par une promotion, ou qu'on trouve un autre travail plus valorisant, qu'on gagne un voyage de rêve dans une île, qu'on gagne au loto une somme colossale, qu'on oublie celui que nous avons perdu ou qu'on retrouve notre amour, on n'est plus mécontentement, n'est ce pas, le bonheur me direz-vous.Le vrai mécontentement reste ancré au fon de nous malgré tous ça.La solution, il n' y a pas de solution, ou bien il existe une seule et unique solution, que cette partie de nous qui est divine retrouve son créateur.Et nous, qu'est ce que nous sommes cencés faire, nous devons comprendre ce mécontentement, vivre avec lui, l'accepter, le jour où je commence à accepter cette situation, c'est à dire à comprendre le mécontentement, un autre monde s'ouvre à moi, des portes vers l'inconnu s'ouvrent, une nouvelle vie, qui n'est pas celle que nous vivons aujourd'hui. et c'est justement de cet inconnu qui nous fait peur, nous avons peur d'aller découvrir ce qui se cache derrière, parce que nous avons peur de perdre nos privilèges, de perdre la richesse matérielle que nous avons accumulés, peur de n'être plus ambitieux, de n'être plus vaniteux, peur d'assumer nos responsabilités, peur de perdre nos repères, de perdre notre sécurité.quand je commence à comprendre ce qui est, c'est à dire le mécontentement, je dois faire le vide en moi, avois conscience que nous sommes en fait vides de l'intérieur, que nous sommes le Néant, je ne dois plus juger, avoir de jugements ou d'opinions mais comprendre le fait tel qu'il est, ne pas l'interpréter avec des mots, parce que et il faut le reconnaître, nous ne pourrons jamais comprendre la totalité de ce qui est, c'est à dire le fait, nous ne pouvons que voir une partie du fait, mais quand on voit en face ce fait que nous ne sommes pas parfaits, que nous tombons toujours dans le piège de nos propres pensées, le vide est là, le silence total, et là vient la vérité à nous, car nous ne pouvons la chercher, nous ne la trouverons jamais, mais c'est elle qui vient à nous partielle, furtive comme un flash et disparait comme elle est venue.quand la vérité est là, quand nous commençons à comprendre ce qui est, le mécontentement, nous basculons vers un état de contentement étrange, imprévisible, sans raison, et nous restons dans cet état, un état de contentement et de mécontentement permanents jusqu'à ce que cette partie divine retrouve son créateur.

Monday, January 10, 2005

Présence totale

comment faire pour être attentif, cette attention totale
la solution, la présence
être présent totalement chaque instant et chaque moment, pour chaque mot chaque phrase et chaque souffle
sentir mon souffle qui remonte et descend, sentir mes mains qui écrivent, sentir mes pieds qui bougent, sentir mon coeur qui bat, sentir ce processus de pensée qui me paralyse, sentir quand je juge, sentir quand je condamne, sentir la terre qui tourne, en dessous, et les nuages qui bougent au-dessus...
la présence totale
se laisser pleinement vide, puisque chaque chose passe à travers nous sans laisser de trace, il n' y a pas de conséquences, il n' ya pas d'expérience, mais seulement la vie.
tout passe par mooi, mais rien ne reste, et naturellement ce qui a une valeur, ce qui est utile et positif reste, et ce qui ne l'est pas s'envole sans laisser de trace.
c'est la présence totale, et c'est l'attention totale.

Mécontentement (première partie)

Il y a en nous deux parties, une partie médiocre, représentés par le corps, par l'esprit matériel, créé à l'origine de la terre, de l'argile.et une partie divine venant de dieu, c'est le souffle de dieu.Au début fut créé Adam qui vécut au Paradis, c'est notre vraie place, notre vraie vie, c'est là où nous devons vivre.Notre vie ici-bas n'est que passage, une sorte d'examen auquel nous devons réussir, ceux qui réussissent sont au paradis, et ceux qui ne réussissent pas vont en enfer, c'est une petite chambre dont on ouvre la porte avec la naissance et qu'on referme à la sortie avec la mort, ce n'est pas notre vraie place.Notre esprit matériel recherche les plaisirs de la vie terrestre, l'argent, le travail, les femmes, la vanité, l'ambition, la servitude...toutes ces petites choses de la vie qui nous usent et nous exploitent sans relâche, sont la cause de notre souffrance, des conflits qui naissent à l'intérieur de nous-mêmes et entre nous.Notre partie divine, est exceptionnelle, différente, unique, elle cherche à revenir vers son origine, vers son dieu, parce que c'est une partie du souffle de dieu.Notre esprit matériel, cherche par tous les moyens à retenir notre partie divine sur la terre, en cherchant la permanence, et les plaisirs de la vie.Donc cette partie divine est toujours mécontente, toujours en quête pour retrouver son dieu, un mécontentement sans raison sans lien avec ce qu'il y a sur terre.Un mécontentement dont la raison n'est pas liée à l'argent, au travail, aux enfants ou aux femmes, mais à quelque chose, qui est d'une autre dimension.Un mécontentement permanent. tant que notre partie divine, n'a pas retrouvé ce qu'elle cherche, elle ne trouvra jamais le repos, jamais.vous allez me dire, mais c'est pourquoi nous sommes à la recherhe du bonheur, pour mettre fin à ce mécontentement.ce mécontentement dont vous parlez, est d'ordre matériel, il se rapporte aux petites choses de la vie, à un travail qui ne nous plaît pas, à des vacances ratées, à une somme d'argent qu'on a dépensé inutilement, à un proche qu'on a perdu, ou à une personne aimée qui nous cause du tort, mais ce n'est pas le vrai mécontentement.

observer

L’esprit de l’observateur peut modifier le sens de la chose observée.
L’observateur et l’observé sont co-auteurs de l’événement psychique.
Il faut donc une méthode simplement pour observer, sous peine de se laisser piéger par nos propres désirs.
L’observateur, se doit d’être neutre, non impliqué, et celui qui donne un sens à ce qu’il observe, devient impliqué et donc, il n’observe plus.
En me disant -observateur-, je ne peut m’empêcher de donner un sens à la chose observée, de l’interpréter, et par là même, de la modifier.
La méthode scientifique exige un esprit contestataire pour aussitôt critiquer ce qu’on vient de construire.
Ce que je vois est le produit, la création de mon appareil perceptif.
Ma perception crée une rupture avec leur perception de la réalité, et donc, crée un conflit entre ma perception et la leur, avec au milieu, la réalité, le fait réel.
En fait, le réel, le fait réel, Ce qui est, ou encore l’ensemble des faits réels, concernant toute chose, se situe au centre, c’est le point d’équilibre, l’origine de la chose, mais sans ses déductions et ses interprétations, c’est le point « philosophal », c’est l’objet de la quête de l’homme sur cette terre.
Il se trouve que toute forme de vie sur terre, les animaux, les oiseaux, les plantes, l’eau, les nuages, l’air, les planètes, et tout dans l’univers a été programmé pour trouver et vivre dans ce point d’équilibre, seul entre tous, l’homme doit faire ses preuves en faisant le chemin depuis le début, apprendre par lui-même à vivre. Ce point se trouve à l’intérieur de chacun de nous, il n’est pas à l’extérieur.
Nommer la chose à observer introduit le regard de l’observateur et modifie la relation.
L’expérience vécue, la connaissance intellectuelle marquent leur empreinte sur notre appareil à percevoir le monde, au point d’en bouleverser le monde perçu.
Déduire, expliquer, conclure trop vite, en voilà une attitude.
Vivre un événement, s’en laisser lentement imprégner, jusqu’à ce qu’une forme apparaisse.
A peine perçue, l’information est interprétée en fonction de nos désirs, de nos connaissances et de nos attitudes mentales.
Tout recueil d’information est partiel.
Donner une cohérence au monde est un mécanisme fondamental de tranquillisation, l’information réelle est intégrée dans le système de pensée, dans sa représentation du monde et l’on arrive, logiquement à une conclusion illogique, mais apaisante, car conforme à nos désirs.
L’évidence, c’est pas évident.
L’apprentissage s’oublie, alors que l’empreinte est indélébile, elle persiste.
Une seule série d’aventures condensés dansa le temps laisse une empreinte plus profonde et plus efficace que des aventures espacées, qui elles, améliorent l’apprentissage.
Rester immobile, observer longuement : ne pas modifier l’événement par notre présence, ne pas intervenir, ne pas bouger.
Il existe un champ de forces affectives, qui influencent l’être humain.
Il n’y a pas, donc opposition entre la nature (monde interne, biologie) et la culture (monde extérieur), mais interdépendance.
La maturation spontanée=la compréhension immédiate, spontanée.
La manière de poser le problème est déjà une manière de pervertir le fait étudié.
Nommer la chose observée, c’et l’interpréter.
Lorsqu’on ne nomme pas les choses, comment saurait-on de quoi on parle ?
On observe ce qu’on cherche, on interprète nos propres désirs et on tient pour vérité les projections venues de notre inconscient.

Thursday, January 06, 2005

hello

bonjour je viens de créer mon B-loogger, j'espère vous allez être nombreux à me rendre visite sur mon 'tit jardin connu de tout le monde mais inestimable...

NeoEarth